La vie cordobaine métropole est beaucoup trop étouffante à mon gout...Pour parrer à l´opression, on était cinq à vouloir bouger pour tenter d´apercevoir les fameux condors. Bon, le jour meme, on s´est retrouvé à trois. Et oui pas simple de motiver les loutres de l´auberge qui foutent rien de leur journée et se mettent la cuite tous les soirs.Enfin bref, passons. J´ai dons fait équipe avec Mael, un perpignanais que j´ai rencontré un mois avant à Bariloche et Tristan, un british bilingue français et oenologue de formation. Plutot curieux pour un rosbif non ?
Une journée parfaite, exception faite que les condors n´étaient pas de sortie ce jour là. On a tout de meme eu droit à la réplique modèle réduit et à des sacrées courbatures le lendemain...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire