Enfin le décolage après presque une heure d´attente. Le vent faisait pas le fier, ce qui nous a laissé dans le doute un bon moment. Mais le jeu en valait la chandelle, et pas qu´un peu.A peine dix minutes que nous survolons les sierras que plusieurs condors pointent le bout de leur nez, amazing ! Et oui j´ai parlé avec des yankees juste avant le décolage...
Mon super Lonely Planet de touriste de base (jean jean celle-ci elle est pour toi) disait que ça arrivait parfois mais étant donné que c´est loin d´etre super fiable j´avais quelques doutes sur la question. Ok, un point para el libro de mierda (son petit nom ici).
J´ai posé la question au gars avec qui j´ai sauté et apparement ça n´arrive pas souvent. Mais bon, en meme temps je commence à le connaitre le refrain de l´argentin de base (re, jajo, re)... Les condors sont venus pour toi et patati et patata et blablabli et blablabla... Du coup, comme très souvent je reste dans le doute, ou le vague tout du moins. Sauf qu´après 2 mois et des patates à tenter de converser dans une autre langue et ben le doute et le vague on s´y accoutume ma fois. Et jvous dis que des fois et ben c´est pas plus mal d´avoir que les grandes lignes, moins de conneries par minute à enmagaziner... Et oui, faute de tout comprendre on deviens philosophe... enfin presque
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